carnÂges - Page 7
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Armoire aka Joue
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C'est du gâteau !
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Ah, tant dû !
Sa victoiresur le soirlui aura échappé des mainscomme le vent que nul ne tientle nœud trop serré au mouchoirQu'il est douloureux, ce départ- et puis, comment s'en départir ?"Tu ne voudrais pas revenirsur mes paroles, Mon Hasard ?!""Vois la triste chorégraphiede mon corps tendu de la sortevers ta dernière lettre morte.Oh, j'en ai trop sur mon lit, dis !"Elle se cabre, tord la bouchese cramponne à quelque empoignéeque naguère elle a tant aimésubir ou provoquer en coucheMais le soir, ni le vent, ni rienpas plus que sa rage pleureusen'absout de la libidineuseun excès de zèle au festinAux soirssuccède au matin souvent d'amères victoirestiniak ©2015 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
PoLème dédié à Lydie van den Bussche - riche découverte ! -
fuites plurinerfs
Réveil mâtin, ne me dis rienje n'ai pas dormi cette nuitoccupé que j'étaisà tenir à mes pieds mon ChienEt quel fut mon dernier tourment ?Ah oui, Quelque Perdue...Le temps de remonter la rueà peine !Pas de quoi bâtir une antienneJ'ai fait ce rêve immense et récurrentde toi, que j'ai connue pour intime sarmentet qui ne me sais plustel un ciel évidentcoule au bout de la ruechangeant et méconnuEt tu parssur un air de victoirechantantTacite épuresi rien ne dureque fait ce rêve dans les nuitsqu'obstinément je négociecomme le marin sa voilure ?Sanglé à l'aube s'attachantà me dire que tout est cuitje n'entends, Guerre! que ta nuitrenonçant à pas de géantfuittiniak ©2015 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK(mais ce n'est que songe, bien sûrcar tu es là, mon Aventure) -
Tétin jets
wish "outside (was) as warm as a bed with a maid"Je suis venu téterà ton sein, Libertéle jus qui manquait à mes mots sans voieOh, Mèredes misèresviens couvrir de ton plaint-chant mes aboisYodel ! Yodel !L'amour est seulet je n'y loge plus aucune joieEuh, Cielformelas-tu jamais songé changer de loi ?Un âge passe là-dessusbradant le fond de sa vertupour quelques pitoyables fallacieuses miettesSans déconner, c'est une horreur !d'aller tenir le quart une heureà la vigie d'un monde marchand, à sa têteEt pourtant, j'y vais sans frémirl'âme exempte de repentiret cherchant quelque mot à qui faire une fêteSans déconner !A quel moment n'ai-je su m'éveiller ?!Falleri, fallera ! Valleri, vallera !Verzeih mir Dunst und Sünde !Elle ne m'aimait pas ! Elle ne m'aimait pas !De là que j'en crève mes yeuxTotale erreur !Pardon, mon cœurje t'ai par trop abîméEt le bonheurn'est qu'une fleursitôt chérie que fanéeSans déconner !Il n'est en ce monde que ton sein, Libertétiniak ©2015 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesKpour une photographie de Gaëna da SylvaHe's the only one who knows the words#T'es où, mon tétin, mon Art-collema petite pensée frivolequand la boue monte à mes chevilles à l'arrêt ?Entends-tu mon appel au mondequand les morales pudibondess'octroient le droit de me laisser pleurer ?T'es où ? T'es où, ma Chère Folle ?Inutile de répliquerVa, je sais très bien où tu esN'écoutant que ton Noble Pèreet la folie de son mystèreEn enfertiniak ©2015 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK