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Héberge m'en

  • Maints dans la main

    Maints dans la main
    heureux parfums
    de rose et cendre

    Le temps sans fond
    que l'horizon
    aux rives tendres

    D'aucun adage
    - foin des courages !
    mouronne au four

    Dense bréviaire
    le salutaire
    et simple amour

    La paume feu
    tant que les yeux
    à l'aube s'ouvre

    Y joue le sang
    de ces tourments
    qui se découvrent

    Passion rigole
    en lettres folles
    de s'inventer

    Une rivière
    d'âme et de chair
    où s'inviter

    Le rêve obscur
    et l'aventure
    d'aimer encore

    Dansez, fantômes
    sur l'Hare Ôm
    de nos essors

    J'apprends la tienne
    - eh ! prends la mienne...
    et cheminons

    Qu'il vente ou pleuve
    la route neuve
    Allons ! Rêvons...

     

    tiniak ©2020 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK

  • Maïa

    poésie,hommage à,maïa izzo,acrostiche,tiniak,foulquier

    Ilet sous le vent

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  • Noir cinoche ?

    C’est un de ces endroits d’où fusent des lumières
    (peu après avoir été plongé dans le noir)
    pour que nos yeux en embrassent mieux les chimères
    et daignent s’en laisser raconter, des histoires

    Il vient, son pas de géant, vers nos yeux d’enfant
    jamais si beau que dans la lutte ou la caresse
    c’est le héros (l’affiche nous l’a dit, avant)
    comme un brillant écho à nos sourdes détresses

    Nous rions, nous vibrons, et – voici la surprise !
    pas aux mêmes moments, pas pour les mêmes mots…
    « Tarzan », tant d'ans après… Non, mais quelle bêtise !!
    Avec ça, sans entracte où tendre un Michoko

    Oubliés la « placeuse » et son digne balcon
    avec sa lampe-torche indiquant quelle place ?
    Ce siège, large au point d’accumuler deux fions
    est-ce pour un voisin nommé Gros dégueulasse ?

    C’est de la nostalgie ? Ben, oui ! Ben oui, quand même !
    avec l’orchestration appuyant le final
    avec l’obstination d’un rire sépulcral
    entourant le baiser qui vient dire « je t’aime »

    Hérisse-toi, mon cinéma d’Art & d’Essai
    de « plus jamais » contre tous les effets spécieux
    d’absurdes voix contre les voies toutes tracées
    pour que j’espère encore en Celle du Milieu

    Et voilà ! Je te vois quand, tombé le rideau
    rentré à mon cachot, rejoue ton tralala
    burlesque et promenant l’ombre de Jean Vigo
    sur quelque « …Rouille et d’Os » assaillant l’écran plat

     

    polésie,acrostiche,cinéma,cinoche,tralala,juliette

    tiniak ©2019 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
    pour un Impromptu Littéraire - tiki#349