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  • Full de Catt' (par Leroy)

    je suis full de Catt' means i'm fed up

    rest no longer @ this damn salope

    mon nom c'est Leroy and hers wasn't Joy

    as i thought before she took me for toy

    j'ai joué full de 4 that's where i lost

    la party de Catt' au bar de la poste

    mon nom c'est Leroy she called me "cowboy"

    neither less nor more 'till i was annoyed

    je suis full de Catt' the girl is mean

    she told me tiniak's her only dream

    my name is Leroy and i am fed up

    just been a toy boy for these damn salopes!

     

    tiniak niak niak

  • Rideau (2)

    C'était quoi le début ? 

    Le prince Norbert s’installa sur une marche de l’escalier en colimaçon qui prenait appui sur ledit « poteau rose ». Pour se premier tour, il désigna Nadja, Terri, Catherine et Steffi.

    Carmen prit place au piano droit et entama un air enjoué dont toutes les filles entonnèrent la mélodie – Terri exceptée.

    Après quelques tours, Nadja ne tarda pas à rouler au sol. Terri sauta par-dessus, mais Catherine buta contre la jeunette et s’étala à plat ventre, tandis que Nadja faisait une galipette et se retrouva à quatre pattes, présentant son derrière à Norbert. La jupette rose pâle retroussée sur ses hanches laissait voir son ferme fessier, fendu de lèvres duveteuses où disparaissait la lanière d’un string bordeau.

    "  - Deux de chute, claironna Carmen en cessant de jouer. Rien ne va plus ! Les jeux sont faits. "

    Puis, prenant à parti le visiteur, Carmen l’invita à formuler son choix entre :

    1. prendre l’une ou l’autre des deux concurrentes
    2. prendre les deux
    3. être de la partie
    4. ne pas en être et désigner quelqu’un d’autre

    Norbert dit alors, offrant une rose à chacune :

    "  - Mademoiselle Nadja, reprenez la pause que vous aviez après votre roulade. Quant à vous Catherine, veuillez vous poster devant Nadja de façon à placer son visage sur vos genoux. "

    Les deux filles s’exécutèrent et Norbert, s’installant devant la croupe de Nadja ordonna encore :

    " - Mademoiselle Nadja, occupez-vous la bouche avec ce qui se présente à vous. Pour ma part, je m’occuperai de ce qui se présente à moi. "

    Le prince écarta sans l’ôter la lanière du string, libérant la vulve et l’anus. Il introduisit un doigt dans chacun des orifices et les branla sans brutalité mais en y mettant toujours plus de vigueur à chaque aller-retour. De son côté, Nadja commençait à donner des petits coups de langues sur le clitoris de Catherine qui ne put réprimer le besoin de se caresser les seins à travers son bustier. Les deux filles se mirent à manifester bruyamment leurs degrés d'excitation respectifs. Norbert empoigna alors les fesses de la petite et lui lécha profondément les paroies vaginales tout en investissant l'anneau rectal par quelques vrilles de l'index.

    Catherine, se couchant presque sur le dos de sa partenaire s'empara des petits seins de Nadja qui s'activait toujours dans son entre-jambe, produisant un effet mesurable aux râles qui s'échappaient d'entre les boucles châtain.

    Quand il jugea que le plaisir atteint était suffisant pour l'heure, Norbert se retira et commanda un nouveau tour de jeu.

     

    Cette fois, ce furent Luna et Pearl qui remplacèrent les deux "perdantes". Steffi et Terri se tirèrent à nouveau indemnes de ce second tour, ainsi que la rouquine. Norbert n'en laissa rien paraître, mais il était ravi de pouvoir goûter à présent aux charmes de la brune plantureuse. Il lui tendit une rose à saisir entre les dents, l'entraîna vers l'escalier où il la plaça bras tendus sur les marches, les genoux écartés. Puis Norbert extirpa un bandeau de soie d'une de ses poches et en ceignit les yeux de Luna qui s'autorisa ce commentaire où perçait quelque ironie :

    " - Monsieur est joueur, que c'en est un plaisir, vraiment!"

    A quoi, Norbert répondit en plaçant un doigt sur les lèvres de Luna. Cette même main se dirigea ensuite le long de la gorge vers le pli des seins, tandis que l'autre se posa dans le creux des reins pour en marquer davantage la cambrure, d'une ferme et habile pression. Faisant glisser la culotte sur les jarretelles, Norbert déplora pour lui-même que le pubis de Luna-la-brune fut presque entièremet rasé à l'exception d'un rigoureux trait de poils dominant le sommet de la vulve fine. Mais il fallut bien sacrifier à cet effet de mode pour savourer la motte juteuse que ses doigts exploraient déjà.

    Pendant que la croupe de Luna se faisait entreprendre par les assauts du visiteur, Carmen se remit à jouer du piano - une mélodie plus suave. Les autres filles se repassaient du spectacle en prenant leurs aises alentour. Ne nous y trompons pas! Elles en avaient vu d'autres. Leur oeil jetait un regard technicien, jaugeant les mouvements, leur vigueur, leur souplesse ; leur oreille percevait le souffle et les sons, mesurant la résistance à l'effort et le seuil d'abandon ; leur nez enregistrait les effluves, dans un souci d'hygiène autant que de confort.

    Les filles s'envoyaient des clins d'oeil entendus : ce serait du gâteau! à bien des points de vue.

    to be continioude, sitôt que je retrouve mon élan

  • la cour des grands

    oki oki

    pavupapri

    ici, c'est pas la cour des p'tits

    ici, c'est bien la cour des grands

    'faut avoir mangé du tourment

    ici ne chante pas ta mère

    ici ne cherche pas ton père

    ici se dit "pas vu, pas pris"

    le mot que tu n'as p'têt' pas dit

    ici se diront haut et fort

    tes peurs, tes pulsions et la mort

    la mort au bout

    ou rien du tout

    pareil

    le verbe peut faire des merveilles

    le jeu est simple

    il faut tout dire

    ici n'est aucun avenir

    ici j'écris ton épitaphe

    sur ta triste mine de craie :

    " c'est sympa d'être passé "

    niak niak

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  • échos matinaux

    J'AIMAIS BIEN LE MATIN ( avec lui )

    24527087791e3f7754d32d25b250722f.jpgJ’aimais bien le matin, encore à moitié dans ma nuit, m’accouder à la fenêtre de la chambre et sourire aux passants. Ce réveil chaleureux se couplait de l’arrivée de mon amant à quatre patte glissant sa tête entre mes jambes à l’abri des regards. Mes sourires s’amplifiaient et mes seins juste couverts se gonflaient à vue.
    Tout changeait. Ma respiration. Mon rythme cardiaque. Mon œil se teintait de lubricité. Ma bouche s’ouvrait tout autant que mes cuisses et je déversais mes sucs sur le visage de mon amant. Il se sentait chanceux que je fusse véhémente et récompensait ma fente par l’introduction de toutes sortes d’objets humains ou bien humanisés.
    Les passants me saluaient comme à leur habitude. Certains me voyaient m’effondrer.

    cévucépri @ EROTIK MENTAL FOOD

     

    Écho matinal

    ad21c67efe906bad252bd4bb035cef7c.jpgIl y a des matins comme ça, on dirait des fins qui s'étirent. ce matin, elle est là, comme tous les matins ou presque. une tasse à la main, un drap sur les épaules et le regard qui ne sait pas s'il doit s'attarder sur la rue en contrebas, le crépi du mur en face, ou la buée qui subsiste et coule une danse molle sur les carreaux de sa chambre mal aérée. le cheveu noué à la va-vite en chignon improbable et le regard perdu en ligne de fuite. thé, lait ou café, une dizaine de gorgées après, tout est joué.

    Est-elle seule ? comment savoir ? Est-elle seule ? pourquoi savoir ?

    Il y a des matins comme ça, on dirait des commencements qui tardent. ce matin, elle est là, comme tous les matins ou presque. hier, elle n'y était pas. à la fenêtre, si. mais pas à ce qu'elle faisait. elle ne buvait pas ses petites gorgées de moineau inquiet, elle n'avait rien sur elle que ses cheveux défaits. la buée dense sur les carreaux la rendaient opaque, lointaine, fébrilement incertaine. et ce matin c'est pire.

    Etait-elle seule ? comment savoir ? Etait-elle seule ? pourquoi savoir ?

    Il y a des matins comme ça, on serait mieux couché.

    tiniak (norbert tiniak)

    © 2007 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK

  • VIVE L'AMARRE, YEAH!

    La mariée l'aura voulu

    on jette les amarres

    il n'est jamais trop tard

    pour se choisir un flux

    La mariée, c'est la Volu

    ça nous fait tout bizarre

    ça trouble le regard

    ça prend au dépourvu

    Et puis, l'instant d'après

    reviennent la confiance

    le fun et l'insouciance

    on crie : " Vive l'amarre, yeah! "

    Et puis dans la foulée

    on écrit une note

    on contacte les potes

    le fil n'est pas coupé

    Rassemblés, tous en bout de piste

    la chaîne des volubilistes

    se met à crier haut et fort :

    " La volubilis est au port "

    Salut, salut, salut

    La mariée l'aura voulu

    Salut, salut, salut

    la mariée, c'est la Volu

    niak niak et les volubilistes associés

    Lien permanent Catégories : Mue de la ruse 1 commentaire