avec, au ventre, ma colère
l'alentour qui me désespère
et le désir d'en finir, las
avec ce qu'il me semble être de vains combats
Je songe et vois quelque troufion
qui pleure et demande pardon
à la poussière
Je marche...
Un sang plus lourd que mes émois
s'épaissit quand je t'aperçois
un cent de ma rage de vivre
attaché à la trace qu'il me plaît de suivre
Je pousse un cri du bout des yeux
Il vient fondre dans tes cheveux
dans leur soie
Je stoppe...
Ma colère s'essouffle
- fini l' barouf !
J'entends
(le monde et son soupir avec ta joie dedans)
un boum ! sans gants...