Chère et périssable chair..
Quel étrange abri fais-tu
à l'ouvrage universel
des quotidiennes vertus
aux vices par trop méconnus
autour d'un songe solitaire
Singulier foyer de mirages
et cannibales folies
comme je t'ai - mal compris !
aimé toujours davantage
à te caresser la brûlure
Je promène ta valise
aux cosmogoniques effets
dans l'atmosphère qui frise
au bord de ses longs parapets
jusqu'au terme du voyage
Tôt viendra le temps de ranger
près du fleuve ta maison
puisque, déjà, le compte est bon
alors, il faudra balayer
les moutons si le Conte y est
tiniak ©2014 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK