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Chaire au porteurChère et périssable chair..Quel étrange abri fais-tuà l'ouvrage universeldes quotidiennes vertusaux vices par trop méconnusautour d'un songe solitaireSingulier foyer de mirageset cannibales foliescomme je t'ai - mal compris !aimé toujours davantageà te caresser la brûlureJe promène ta valiseaux cosmogoniques effetsdans l'atmosphère qui friseau bord de ses longs parapetsjusqu'au terme du voyageTôt viendra le temps de rangerprès du fleuve ta maisonpuisque, déjà, le compte est bonalors, il faudra balayerles moutons si le Conte y est
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venin Et pour une nuit sans sommeil Et pour une nuit sans sommeil
 que vas-tu dire...
 que c'était notre danse ?Et pour une nuit de violence 
 où est le pire...
 qu'il n'en soit de pareille ?Ah, chance ! 
 de nos inadvertances...
 Mais ce n'est plus le cas !Nous voici, à l'aurore 
 devant ce que nous laisserons pour mort
 entre nos mains
 quand ne suffira plus de dire
 "C'était hier, c'est le matin"Et non, amour ! 
 L'histoire est entre "jamais" et "toujours"
 - Suffirait de n'en plus vouloir
 le jeu crâne du meséspoir !Mais voilà ! 
 Des serments, l'ineptie
 nous pousse à penser
 "Tout est dit, tout est clair"
 quand du serpent reste en nos chairs
 et ce venin :
 "je songeais que tout irait bien"tiniak - carnÂges © 2010 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK 
 Illustration d'en-tête : J-F Nourrisson-Moncey
 (Oui bon, on choisit pas, c'est marrant)pour un Impromptu Littéraire - tiki#89 
