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Blog - Page 3

  • revenu miminum

    " tiniak3.JPGChérie, n'enlève pas ta p'tite culotte, j'arrive!* "

    je vous prie d'excuser cet arrêt momentané des méninges.

    j'adresse mes plus vifs et plus chaleureux remerciements aux belles personnes qui ont, de près ou de pas si loin, contribué à mon retour sur cet espace... et au-delà!

    ce que c'est que LA VIE, tout de même! quelle énergie!

    je vous embrasse, et vous dis a domani, titi.

     

    * réplique tirée du film "ABYSS" (J. Cameron, 1989)

  • Volubilis Manifesto

    le mainate : "VOLUBILISTE TINIAK COMMENT ES-TU ARRIVE LA ?"

    tiniak :  - Où ça?
    le mainate : - Ben, chez La VolU (fais pas l'con quoi, c'est toi qui passe en premier, merde!)

    tiniak : - a-donc... norbert ne s'était pas encore complètement fait dévorer par tiniak, quand je découvris les écrits décomplexés et sympathiquement légers d'une certaine Ipomée ; à vrai dire, je ne sais plus quelle recherche d'image m'a conduit jusqu'à son premier bleugh (pardon, bloug - oui 'fin blong). la nuit était fort tardivement avancée, je manquais d'une illustration pour mon espace msn.
    et paf!
    je ne sais plus si j'avais tapé quelque chose incluant le mot "poésie", toujours est-il que, dans les quelques lignes du court exergue placé sous sa mention par le moteur de recherche, je remarquai des VERS INTRIGANTS. c'était chaud de hot, ça semblait décalé, je ne me doutais pas de ce que j'allais trouver.

    je me souviens même que ma première lecture ne m'avait pas livré d'indication sur le genre de l'auteure. c'est en fouillant plus avant que j'ai découvert à qui j'avais affaire.

    je surfais depuis peu pour mon seul compte et à mes heures plus que perdues. d'ordinaire, je jetais de brefs coups d'oeil à des articles, piochais des images. au mieux, j'écoutais des musiques, j'esquivais toujours les blogs perso... MAIS ALORS DIS, là, j'ai bien dû y passer près de deux heures d'un coup!

    Accro' à la première lecture... et tiniak en a bouffé norbert.
    [norbert, c'est le rimeur profond - tiniak, c'était son extension légère. la vapeur ne s'est pas renversée : tiniak, au contact de la volubilité d'Ipomée (que je décryptais en e_paumée) est sorti, mainate au poing, pour lâcher haut et fort,ce que norbert pensait devoir garder pour lui. HAUT ET FORT! le choix du support, une autre cohérence qui m'a de suite plu. ndmm]

    de comm' en réponses, j'ai goûté les humeurs lumineuses de cette charmeuse de serments.
    et de clics en clics sur les liens qu'elle propose, je me suis fait une idée de ce qui rassemblait des personnes qui ne se ressemblent pas. je n'adopte pas tout : ce sont SES LIENS. mais j'y ai fait aussi de bonnes découvertes PAS SEULEMENT FEMININES!

    697ec91bb80099b2219241f59873f264.jpgessayez. c'est pas plus compliqué.

    c'est bon là, j'peux y aller ?

    le mainate : VOLUBILISTE TINIAK , MERCI "

    le mainate : "VOLUBILISTE COMME UNE IMAGE COMMENT ES-TU ARRIVE LA ?"

    CUI : — Oh la la ! Mais c'est que ça commence à remonter à la nuit des Burps. Quand j'ai débarqué en mai 2006 dans la burposphère, c'était un peu ex nihilo, c'est à dire que je ne venais pas parce que je connaissais untel ou untelle qui tenait un burp (je n'ai su que plus tard que Lib, la géniale Echappée Belle, en avait un – et quel burp !). Donc je ne connaissais personne et personne ne me connaissait. Je suis allé à tâtons et je me suis construit à la force du poignet un lectorat et (y'a pas de mot ?) un écritorat (?!), enfin, mon petit réseau de burps que je lisais. Comment j'ai découvert la volu, je crois, mais sans certitude, que c'était en passant par Sex & Cie.
    J'ai réussi à trouver chez moi la première note entièrement consacrée à elle :
    http://commeuneimage.hautetfort.com/archive/2006/10/12/i-%E2%99%A5-volubilis.html
    C'était en octobre 2006 mais, disais-je, elle était déjà en lien chez moi depuis un moment.

    697ec91bb80099b2219241f59873f264.jpgJe crois que je la projette comme une sorte de femme idéale, celle avec qui j'aurais voulu construire ma vie, belle, bandante, sexuelle, vivace, fine... Évidemment je n'ai qu'un regard partiel sur ce qu'elle est vraiment mais je reste, un an après, toujours fasciné par la Volu.


    le mainate : VOLUBILISTE COMME UNE IMAGE, MERCI " 

     

    le mainate : "VOLUBILISTE STORIA GIOVANNA, COMMENT ES-TU ARRIVÉE LÀ?

    la Sto' : - En octobre 2005, je m'appelais encore Blandine, j'avais 22 ans, j'étais célibataire, pucelle et coincée et je commençais un Master 2 en Histoire Médiévale à l'université de Rennes II. Au même moment, au détour d'une visite à la BU, j'ai eu l'idée de commencer l'aventure sur Rocktaverne. Au détour d'une visite sur la page d'accueil de Jubii, je tombe sur deux blogs azimutés : Ange ou Démon (elle manque, la petite!) et Volubilis.
    Cela a coïncidé avec mes premiers questionnements sur le sexe, l'amour (questionnements tardifs, certes, mais là n'est pas le propos). Ces deux minettes m'ont aidées à réfléchir. Par la suite, je suis restée en contact avec Volu, au gré de mes pérégrinations. A mesure qu'elle se posait ses questions sur la vie à 2, je lui répondais par mes questions sur le sexe.
    697ec91bb80099b2219241f59873f264.jpgAujourd'hui, je m'appelle toujours Blandine, j'ai 24 ans, je ne suis plus célibataire, pucelle et coincée, et je viens de commencer un Master 2 Professionnel Métiers du Livre et de l'Edition à l'Université de Bretagne Occidentale à Brest. Grace à qui?

    le mainate : VOLUBILISTE STORIA GIOVANNA, MERCI"

     

    le mainate : "VOLUBILISTE LEPETITLEIBNITZIEN, COMMENT ES-TU ARRIVÉE LÀ?
    lepetitleibnitzien : - Comment j'en suis arrivé là ?
    C'est une histoire, pas forcément longue, mais très surprenante.
    Assurément mériterait-elle d'être narrée !
    Mais il n'est pas encore temps.
    Disons que je me suis trouvé là presque par hasard,
    mais presque
    .

    Ensuite, j'ai été happé par cette mise en mots d'une existence fragile.
    Peut-être parce qu'elle n'est pas sans rapport avec l'esprit des années 70 (voir la scène de la famille autour d'un feu de bois avec déclaration d'amour au père).
    C'est parce que c'est la métamorphose de la petite fille aux jambes de grenouille en femme amoureuse de son corps.

    Je me suis dit : à coup sûr, petitleibnizien, voici quelqu'une qui a autre chose à dire que :
    "je croque la vie à pleines dents" !
    Comment a-ton pu comparer ce blog avec Bridget Jones ?

    La vérité, toute, on ne peut pas la dire, on ne peut que la mi-dire.

    le mainate : VOLUBILISTE LEPETITLEIBNITZIEN, MERCI"

     

    b21d0ab006844c13a3c68b1e0f99ea51.jpgle mainate : "VOLUBILISTE CATTLEYA, COMMENT ES-TU ARRIVÉE LÀ?

    la Catt' : - V comme… Volubilis
    C’est grâce (ou à cause me direz vous) d’elle que je suis ici, à essayer tant bien que mal de finir cet abécédaire. Pourquoi y a autant de lettres aussi !
    Volu, je l’ai découverte par hasard, sur son premier blog. J’ai accroché tout de suite à ce ptit bout de fille au style (oui parce que pour le coup, elle, elle en a du style) à la fois drôle et intelligent. Elle sait parler de tout. Elle sait vous rendre intéressant un caillou trouvé dans le fin fond de sa campagne. Elle se livre avec une fraîcheur qu’à l’instant je lui envie.
    Dès que je rentrais du taf, j’allumais mon ordi pour découvrir son nouveau billet. Je suis devenue une Volubiliste de la première heure, comme nous nomme Tiniak.
    Plus qu’une bloggueuse à mes yeux, c’est devenue une amie. Grâce à elle, je n’ai plus froid aux mains en hiver ! (si ça c’est pas de l’amitié !)
    Nous échangions des fous rires sur MSN (si si , je vous jure cette fille là est tellement barrée que je l’aime !)
    Ma Volu, sache que oui, je t’aime ; je te souhaite tout le bonheur possible, et même plus encore. Je t’embrasse."

    le mainate : VOLUBILISTE CATTLEYA, MERCI"

     

    b21d0ab006844c13a3c68b1e0f99ea51.jpgle mainate : "VOLUBILISTE L, COMMENT ES-TU ARRIVÉE LÀ?

    L: - Je suis arrivée chez Volubilis... il y a trois jours.
    D'aucun diront peut-être que je suis une trop jeune lectrice pour être prise au sérieux. Mais moi je peux vous dire qu'un coup de foudre c'est un coup de foudre. Vous me reverrez encore dans dix ans (si Volubilis ne s'est pas épuisée à la tache avant).

    Avant de dire comment je suis arrivée là, je vais raconter ma vie (j'adore raconter ma vie).
    Il y a deux ans j'étais célibataire, pucelle et je n'avais rien d'une coincée, seulement j'avais grandi sans rien apprendre de mon sexe. J'étais bien trop occupée avec le reste du corps, à goûter à tous les plaisirs de tous les sens que je connaissais, ceux dont ma maman n'avait pas omis de me signaler l'existence. Et puis sans doute que je n'étais pas assez mûre non plus.
    Un jour j'ai fait l'amour avec un garçon. Et j'ai découvert que ça me plaisais vachement. Je l'ai refait. Et c'était encore mieux. C'est ainsi que j'ai avancé à petits pas dans ma sexualité jusqu'ici, avec ce garçon qui m'apprend chaque fois un peu plus à apprécier le plaisir de mon corps.

    Cependant, ne voyant ce garçon que très rarement, l'avancée dans le plaisir est toutes en interruptions, bref, très lente. Bien plus lente que ma curiosité.
    Au cours d'une recherche google pour je ne sais quelle raison, je suis tombée par hasard sur le site de Comme une image. Les trois lignes de la page google m'ont intriguée. Et ce que j'ai lu a réveillé un plaisir diffu. Bref, j'ai découvert ce que c'était l'érotisme, qu'il y avait des gens qui savaient l'écrire, et que j'aimais ça. De liens en liens, un peu plus tard, je suis arrivée chez Volubilis.

    Dès le premier texte - que dis-je - dès les premières phrases, j'ai senti que c'était quelqu'un dont le style parlait directement à mes sens.
    Au bout de deux ou trois textes, j'ai compris que c'était quelqu'un qui me plaisait.
    Et une dizaine de textes plus tard, j'ai fini par vraiment comprendre : cette femme, c'est moi. Ou plutôt c'est le moi qui n'est pas encore là. Mais lorsqu'elle se raconte, c'est mon corps qu'elle raconte.

    Alors voilà, Volubilis, c'est le plaisir de redécouvrir le plaisir à travers elle.
    Et au détour d'une phrase, c'est une réponse à mes questions. Et encore plus souvent des textes qui me font me poser des questions.

    Donc merci Volubilis et au plaisir d'être encore ta lectrice.

    le mainate : VOLUBILISTE L, MERCI"

     

  • La bannière forte

    Dans ma bannière, il y a...
    un bouquet de cattleyas
    et un joli collier d'ambre

    rien que d'y penser, je tremble

    Dans ma bannière, il y a...
    un mainate au bout des doigts
    deux pompons de matelots
    les bras levés de mayo

    Dans ma bannière, il y a...
    une banane paprika
    dans les yeux de La VolU
    emplis de sous-entendus

    Dans ma bannière, il y a...
    un semblant de souffle d'âme
    un portrait de mal-femmée
    des groseilles à savourer

    b30a413fa61ac14c77af9cc510d7d41d.jpgDans ma bannière, il y a...
    dans un certain cadre en bois
    une repro pointilliste
    de Fanny Berrebi, pigiste

    Il y reste encore, pourtant
    quelques espaces de blanc
    c'est pour mieux y faire entrer
    ceux qui ne sont pas cités

    tsi hi (#200)

  • VolUbilistes, debout!

    !A LA VOLU! 

    Cette note pour que VOUS LUI témoigniez tout l'intime intérêt, le sincère respect et encore bien plus, pour les raisons d'affinités particulièrement HAUTES ET FORTES qui nous ont rassemblés autour d'elle : Ipomée, La VolU.

     

    b42cea942115d2f75ea9810f8f6e15ce.jpg

    Je vous propose de prolonger indéfiniment les quelques mots inscrits en toute fin de ce billet.

    Pour ce faire, laissez-en quelques-uns de votre cru - cru, c'est le ton qui convient, nuh? en COMMENTAIRE, là ci-dessous, après. même des mots en vrac! (si vous souhaitez que je les assemble, précisez ASSEMBLAGE VO'LU) je me charge de les ajouter à la suite [+pseudo des auteurs], sur ce billet ; et m'engage à l'actualiser de façon à ce que la composition ainsi obtenue figure toujours en PAGE D'ACCUEIL sur ce blog.

    Libre à vous de le copier périodiquement pour le mettre sur le vôtre.

    Le jour où La VolU reparaîtra sur la blogo', ça va lui faire une drôle de chiée de surprise, pas vrai ?

    C'est parti!

     

    " In volubile volubilis / voulut voler aux heureux tristes / un temps de paix qui ne subisse / ni la fatuité du sophiste / le sourire niais de l'hypocrite / ni la pitié du moraliste / En vérité Volubilis / nous a rapprochés du pubis / nous a décliné le pénis / en termes crus ou fantaisistes / décomplexés ces mots persistent /vois-tu VolU, voici la liste / de tes joyeux VOLUBILISTES [tiniak] Délice dévoilé, gourmandise en macaron, croquante d'érotisme, la recette s'est déclinée en multiple façon. Jamais d'overdose de cette esquise patisserie [milady] Un petit habitant / caché dans ton nombril /arrivera en disant : / "Avanti, mamma, sono qui!" / Ne nous dis pas "Ciao" / trop vite, ma Volu, / mais fais-le pour momo... / et qu'on n'en parle plus! [Giovanna Storia] ... "

     

  • Eh, dites! Oh!

    de l'usage de l'écrit sans complexe et de la qualité de volubiliste confirmé(e), il me faut vous entretenir. si, si!

    ça rafraîchit.

    c58b82438fc829318930854cc130e3e6.jpgc'est qu'il y a des volubilistes qui s'ignorent, alors... étant donné que c'est à mes yeux une carte d'entrée plus que valide pour adopter l'esprit d'ici, sur 'pavupapri', allez donc tester vos mirettes sur les pages de la volubile volubilis. prenez garde que vos braguettes ne soient pas trop serrées, ni vos lunettes déjà embuées ou votre tête par trop coincée dans un carcan de vertus mal (mâles ?) placées. c'est du chaud bouillant!

    avec ça, c'est en surfant de blogs en bleurks de la blogobule 'BLABLAS DE FILLE' (tag populaire, s'il en fuse) que j'ai découvert le franc parler, le chaud parler, le cru parler de La Volu... mon flanc n'a fait qu'un tour - de la souris au clavier, et je me suis jeté!

    dans quoi ?

    dans une parole qui caracole en tête des pérexécutions de tabous. j'aimais déjà les mots, les bons et les beaux, les mots rigolos qui jouent entre eux comme les marmots d'une cour d'école maternelle (sans calculer les vieux yeux qui les entourent, leurs oreilles insidieuses et leurs voix de crécelle quand il faut rentrer dans le rang). na! mais j'ai découvert avec les Anne Archet et consoeurs, les Sex&Cie, les silolo, une autre manière de conjuguer le verbe : en chair et en bone!

    f98e54ec81458ae35b42746c92a101e5.jpgprenez le cul... oui bon, du calme, finissez au moins cette note, monsieur, madame... ou revenez-y bientôt, car ce que je voulais dire, c'est prenez le mot CUL, faîtes-en un "tag" et vous verrez qu'il est bien difficile de n'être pas déçu (pas dessus, rôôô!). c'est vite vulgaire, le mot cul. grossier, ça m'irait, mais au détour d'une humeur, pas en valeur absolue.

    ici commence un érotisme - que je nomme volubilisme, car s'y mêlent des propos anodins qui dérapent vers un popotin, un bout de sein, une paire de mains agiles et, toujours volubile, ça se fait descriptif, explicatif, pédagogique bientôt, et puis ça vire au poétique, à l'excentrique (Alec sans trique ? quel dommage), ça fond dans le subliminal, ça se fait du bien - ça fait pas de mal et c'est TOUJOURS le propos d'une personne... qui se donne.

    c'est pas du porno, eh, dites! oh!

    ça titille à l'entre-jambe, mais ça vient du cerveau.

     

    tiens, tant qu'j'y pense: ne manquez pas mes leçons de vit et mes cours de Q

    tk#120