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Pardon pour cette intrusion très "Paul & Mick" façon 'bAadaboum' dans 'pavupapri', mais je devais donner réponse à la Catt' avec ceci :
à écouter On Line, c'est pas terrible (trop lent sur HAUT ET FORT) mais si tu le 'podcast' (d'un clic) tu vas t'éclater, j'te l'dis. + luv from us 2 U.
vous l'aurez peut-être remarqué, mais oui : je préfère les minuscules aux MAJUSCULES. la raison en est simple : l'humilité fait trop souvent défaut dans ce que les civilisations actuelles (occidentales, orientales) expriment. parler du fond du coeur, du cul et de l'esprit, ça m'est indispensable. je crois pourtant être UN VRAI BRANLEUR. mais ce verbiage tend à démontrer à quel point nos paroles sont futiles TANT QU'ELLES NE SONT PAS ENTENDUES POUR CE QU'ELLES SONT : crues et véritables, fantasmatiques et interprétables, niées ou acceptables!
je surfe. je mate. j'écoute. j'observe.
je pense qu'il manque au monde cette bénédiction des poètes, peintres, écrivains et mathématiciens : la distance.
leur suprématie s'amenuise.
et voici la bétise que la mort hypnotise prête à nier la vigueur de l'esprit, sa liberté, sa "destiny".
motamomotabou est mort. vive pavupapri. que demeure vivace : le mien, le vôtre... l'esprit! dans la résistance comme dans l'oubli (de soi a fortiori!)
[notez que quelques MAJuscules se trimballent deci delà... oh, on dirait qu'elles font des mots dans les mots? oh? oh?]
Y a pas, ça m'aurait trop manqué de ne plus scribouiller des canailleries à la cochonaille. Total, je sens que mes nuits vont encore raccourcir. Avec ça j'ai bien un autre blog, mais les fonctionnalités hautetfort, y a pas : on s'y fait.
Et quoi, je n'aime toujours pas les tabous, alors je me les farcis ici, à la sauce jus de mouille. S'en régale qui veut! S'en indigne qui peut! Je viens renouer ici avec la géométrie du Q parfait, des images détournées en nouvelles flesh et mon abécédaire (o'tic) en stuc. Je vois déjà vibrer des poitrines accortes. J'entends déjà souffler des râles de désir fou dans les chevelures, précédant de doux clapotis ou de mous tapotements de frénésies culiaires. Car ils viennent! Ils viennent en dodelinant les petits culs que j'aime charnus. Elles galopent! Elles galopent! Avec au bec un clope ou un doigt révulsé. Elles s'amusent, les muses de m'y voir replonger - ne nie, ni ne récuse : le délice est complet.
Rien que pour voir, je ne vais pas prévenir les celles et ceusses avec qui j'ai entamé, il y a peu, des liens aussi étonnament virtuels que chaleureux. Mot à mot... bout à bout... sans tabou, mais avec une chaude pudeur. Rien que pour voir, té.
Bavarde, ma grande bavarde, me retrouveras-tu ? et l'auratuvoulu, Bill ?
Annette de l'autre bout du globe, traverseras-tu les îles Atlantes pour venir jusqu'ici tirer sur ton archet ?
Et la petite barrée ? Cette Ju' kivouditou, surtout où c'est barré et qu'il faut lire en-dessous!
C'est mon tiercé gagnant, même dans le désordre. Le désordre, ça m'inspire ; ça rime avec mordre.
Elle vient d'arriver dans les espaces blogs. Saluons sa venue. Avec ça, elle fait partie du club de La VolU, alors... maxi zib zoub à Cattleya. Et ces quelques fleurs en sus...
Pendant que je me triture les méninges, faîtes donc un tour par chez elles, elles trois. Si vous crêchez quelque part dans le Nord de la France, il va vite faire chaud. Si vous logez, comme moi, quelque part dans le Sud... maaa!
Aaaaaaaaah... un peu dzik tiens.AVANT D'OUVRIRLA CHASSE AUX JULIETTE!C'est l'été, té! Obligé...
Quoi... il est marrant ce tube, non ? " j'aaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiime.... "
Ben quoi, encore un mois (pile, tiens) et je prends une pige. Alors dis, eh! 'vais m'gêner 'têtre.