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paVupApRi - Page 279

  • !dessus!

    JEU CINEPHILE, CINEPHAGE

    1. De qui cette réplique entre nanas (ambiance : salon de coiffure) ?
    2. Dans quel film ?
    3. De quelle année ?

    " Comme disait ma mère... Je n'ai qu'une seule ride, et je suis assise dessus "

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    (merci de répondre en laissant un COMMENTAIRE en fin d'article)

    Lien permanent Catégories : effet : mes rides 3 commentaires
  • Géométrie d'un Q

    889735f186ce3889da5593e68d17401c.gifBonjour. Asseyez-vous dessus.

    Aujourd'hui, je vais vous entretenir d'un précepte fondamental pour bien comprendre le Q.

    Nul besoin d'être particulièrement intelligent pour saisir que, dans le cul, tout est affaire de cynétique, de chimie - ça vous y aviez pensé sans moi. Mais, le cul est avant tout UNE QUESTION DE LOIS GEOMETRIQUES. Pour la démonstration qui va suivre, emparez-vous :

    1. d'une feuille quadrillée, petits carreaux de 0,5 cm
    2. d'un double décimètre
    3. d'un crayon gris
    4. d'une pointe feutre fine
    5. d'un compas

    Merci. Commençons.

    La géométrie du Q parfait se démontre par un schéma rigoureux faisant appel à la construction d'un V très particulier. C'est en quelque sorte un épiphénomène du VQ. Je vous demande donc un peu de sérieux et de l'application, surtout de l'application.

    Merci. Commençons :

    Sur une feuille quadrillée, tracez un carré de quatre carreaux. Dans ce carré, vous dessinerez un coeur, pointe en haut, et globes en bas de la figure.

    Prenant appui sur les côtés gauche et droit du carré, tracez finement trois droites parallèles : l'une à gauche (D1), l'autre à droite  (D2) et la dernière au centre (D3, passant par la pointe du coeur).

    Notez que les droites D1 et D2 forment d'harmonieuses tangentes avec les arrondis, dont les courbes ne sont pas sans évoquer le fameux nombre d'or, l'absolue spirale si chère aux peintres classiques.

    Mais passons...

    A l'aide de votre compas dont vous piquez l'axe dans la pointe du coeur, prenez la distance entre ce point et le centre du carré. Reportez la mesure sur votre double décimètre. Divisez cette mesure par trois. Puis reformez l'écartement de votre compas qui soit égal à quatre tiers (4/3) de la première mesure.

    Repartant de l'axe logé à la pointe du coeur, décrivez un arc de cercle de façon à venir marquer des points d'intersection sur les deux droites D1 et D2. et un dernier point d'intersection, à l'intérieur du coeur, sur la droite D3.

    Repartant du point d'intersection de la droite D3, à l'aide de votre double décimètre, tracez les segments M1 et M2 vers les points d'intersection de D1 et D2.

    Vous obtenez un V.

    Or c'est de l'équilibre de ce V - dont la pointe est notre coccis, avec les courbes du coeur - nos fesses et nos hanches, que dépend la pureté du Q.

    A l'aide votre feutre pointe fine, dessinez maintenant les contours du buste (le V), des hanches et des fesses.

    Notez l'implacable harmonie qui se dégage d'une telle forme. Forme que ces demoiselles et ces dames peuvent atteindre, dans la limite de leurs dispositions naturelles, bien évidemment, en se tenant tout bonnement accroupies et les bras de préférence en l'air - par exemple, posés sur la tête.

    En sortant vous voudrez bien vous saisir du document joint, cette photo de dos que je vous demande d'analyser au regard de ce que nous avons appris aujourd'hui.

    Le groupe A prenez la photo de gauche. Le groupe B, celle de droite. Nous comparerons vos résultats la prochaine fois. Ayez une pensée fraternelle pour vos camarades étudiantes qui ont bien voulu se prêter à cet exercice délicat que d'aller exhiber ces parties intimes de leurs anatomies. Voyez comme la soif de connaissance peut motiver quelqu'un au-delà de ce dont il se sait seulement capable.

    Je vous remercie de votre attention.

    375b6d1008622d6e136e07921d53a437.jpg3bafa26ab6d8c0e6b1afd1408196d984.jpg

     Figure A

     

     

     

     

    Figure B

  • pavupapri

    Chassez le naturel, il revient au brûlot!

    2ceb450c691f2a427905afdeca0308df.jpgY a pas, ça m'aurait trop manqué de ne plus scribouiller des canailleries à la cochonaille. Total, je sens que mes nuits vont encore raccourcir. Avec ça j'ai bien un autre blog, mais les fonctionnalités hautetfort, y a pas : on s'y fait.

    Et quoi, je n'aime toujours pas les tabous, alors je me les farcis ici, à la sauce jus de mouille. S'en régale qui veut! S'en indigne qui peut! Je viens renouer ici avec la géométrie du Q parfait, des images détournées en nouvelles flesh et mon abécédaire (o'tic) en stuc. Je vois déjà vibrer des poitrines accortes. J'entends déjà souffler des râles de désir fou dans les chevelures, précédant de doux clapotis ou de mous tapotements de frénésies culiaires. Car ils viennent! Ils viennent en dodelinant les petits culs que j'aime charnus. Elles galopent! Elles galopent! Avec au bec un clope ou un doigt révulsé. Elles s'amusent, les muses de m'y voir replonger - ne nie, ni ne récuse : le délice est complet.

    Rien que pour voir, je ne vais pas prévenir les celles et ceusses avec qui j'ai entamé, il y a peu, des liens aussi étonnament virtuels que chaleureux. Mot à mot... bout à bout... sans tabou, mais avec une chaude pudeur. Rien que pour voir, té.

    • Bavarde, ma grande bavarde, me retrouveras-tu ? et l'auratuvoulu, Bill ?
    • Annette de l'autre bout du globe, traverseras-tu les îles Atlantes pour venir jusqu'ici tirer sur ton archet ?
    • Et la petite barrée ? Cette Ju' kivouditou, surtout où c'est barré et qu'il faut lire en-dessous!

    C'est mon tiercé gagnant, même dans le désordre. Le désordre, ça m'inspire ; ça rime avec mordre.

    41bb66467ee3aa9101ee54073dd07c0d.jpgElle vient d'arriver dans les espaces blogs. Saluons sa venue. Avec ça, elle fait partie du club de La VolU, alors... maxi zib zoub à Cattleya. Et ces quelques fleurs en sus...

    Pendant que je me triture les méninges, faîtes donc un tour par chez elles, elles trois. Si vous crêchez quelque part dans le Nord de la France, il va vite faire chaud. Si vous logez, comme moi, quelque part dans le Sud... maaa!

    Aaaaaaaaah... un peu dzik tiens. AVANT D'OUVRIR LA CHASSE AUX JULIETTE! C'est l'été, té! Obligé...
    podcast

    Quoi... il est marrant ce tube, non ? " j'aaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiime.... "

    Ben quoi, encore un mois (pile, tiens) et je prends une pige. Alors dis, eh! 'vais m'gêner 'têtre.

    Lien permanent Catégories : Blog 0 commentaire
  • corrida (talk show blues)

    Trop d'yeux frais pour la dérobade
    si peu à fredonner en chœur
    Une foire est sur les hauteurs
    de la citadine parade
     
    À peine a fleuri la tulipe
    au fulgurant anonymat
    que se fomente un attentat
    au square où passe l'archétype
     
    Les bruits de pirates hardiesses
    couvrent le murmure amoureux
    lissé de cheveu à cheveu
    pour que les âmes se caressent
     
    Kératine hélicoïdale
    au bouclier de mélanine
    qu'assignes-tu l'hémoglobine
    aux fers complexés ou au pal ?
     
    Sarabande au front imbécile
    - et quoi, pour quelques quarante acres ?
    ton vil et aveugle massacre
    glisse une perle noire au fil
     
    Hurray, hourra et hallali !
    La bête est morte dans l'arène
    pour la joie de la bête humaine
    qui rentre coucher ses petits
     
    On - ce con qui ne dit son nom !
    va bientôt se taper la cloche
    un mouchoir noué dans sa poche
    pour la prochaine expédition
     
    Watusi, heureux bovidé
    broutant bien loin de nos collines
    c'est ton frère qu'On assassine
    en tuant le mien sous mon nez
     
    Belliqueuses substitutions
    qui saccagez à qui mieux-mieux
    la folie vous crèvent les yeux
    d'oedipienne malédiction !
     
    Libidineuses catastrophes
    vous vous racontez à l'écran
    arguant de votre incontinent
    pour justifier vos apostrophes
     
    Urémies de l'humanité
    vous conchie comme je vous pleure
    mais plaise aux amis que j'en meure
    s'il n'est de solution qu'armée
     
    Et quoique j'aime l'ombre fraîche
    où reposent mes deux enfants
    je ne les cèderai pourtant
    jamais à vos pensées trop sèches
     
    Sinusoïdal appétit
    l'enfantine curiosité
    saura toujours vous opposer
    la ténacité de l'esprit
     
     

    alarmes

    tiniak ©2014 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
    Où l'illustration s'honore :
    ...'cause we haven't been paying attention...
     
    Et encore, merci à Sam Nô ;) Brother in roar
  • opéra bouffe

    Plus haut la garde, mon amour !
    Je crains pour ton noble visage...
    Vois, comme la montagne est sage
    et maintient fermes ses contours...
     
    Plus haut, le rideau sur la tringle !
    si tu veux occulter ici
    l'intime jeu de nos partis
    pris au modèle de la jungle
     
    Plus haut ! Plus haut ! Nos yeux ensemble
    vers notre festin amoureux
    assis à la table des cieux
    où rêvons comme bon nous semble
     
    Plus haut, le bonheur attendu
    de se goûter la carne folle
    d'être à deux une farandole
    et résoudre notre inconnue
     
    Plus hauts, nos bras nus dans le ciel
    plaidant le délai quotidien
    arguant de notre rachidien
    comme du plus pur hydromel
     
    Plus haut, mon sexe dans ton ventre
    pour t'entendre crier mon nom
    et raccorder mon diapason
    à ce qui nous ramène au centre
     
    Plus haut ! Toujours plus haut que là
    où s'agrègent les imbéciles
    qu'ils soient de campagne ou de ville
    et réfutent notre opéra
     
    Plus haut, plus haut ! Je t'aime toute
    en ce rêve esseulé, sans doute
    Mais chut, ne le répète pas.
     
     

    chtong!,masse

    tiniak ©2014 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK