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exergue

  • L'ABECEDAIRE poLétique

    Yihaa !Œuvre de pédagogie légère sensée démontrer avec bonheur combien la poLésie a son terme ancré dans le quotidien ; où l’on verra en outre tout l’intérêt de conserver par devers soi les ouvrages et essais littéraires, les recueils de poésie et ces vieux manuels de littérature française qui nous ont tant pourri la vie scolaire.

     

     

     

    Epigraphe incipitatif aux fins de caution littéralesque :

    « Ce n’est pas la station debout permanente qui a séparé l’homme du singe, c’est la poésie » Charles Dantzig, Dictionnaire égoïste de la littérature française – © Éditions Grasset et Fasquelle, 2005.

     

    AU SOMMAIRE DE L'ABECEDAIRE POLETIQUE :

     

     

    AVANT-PROPOS INTRODUCTIF EN MANIERE D'EXERGUE :

    J’avoue avoir choisi cette forme catégorique par lâche concession faite à l’actuelle pression qu’exerce sur les individus certaine gestion du temps qui se prétend moderne et pragmatique. Alliage des fonctions contradictoires de la lecture documentaire et de la contemplation poétique, cet ouvrage (un mictionnaire de poLétique ?) recèle de miens écrits originaux suivis de citations d’auteurs pertinemment décédés pour la plupart – ce qui ajoute au caractère péremptoire de mes choix et permettra au lecteur avisé de s’exclamer ici ou là « ah oui tiens, ça je connais ».

     

    Alors, de la pourriture didactique qui nous les avaient rendues indigestes, je gage que nous verrons, après cet exercice, refleurir nos parcs de leurs nourritures terrestres.

     

    ...mmmmnawouiche...Ah, et puis si on vous le demande : le L dans « poLésie », ça veut dire ludique, donc.

    PoLétiquement vôtre,

    tiniak.

     

     

     

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    Avec, par ordre alphabétique d’apparition magnifiante :

    Allais
    Apollinaire
    Aveline
    Barbey D’Aurevilly
    Barjavel
    Barrès
    Bernard
    Boyer
    Breton
    Cadou
    Cendrars
    Charef
    Cocteau
    Cohen
    Cros
    Dac & Blanche
    De Beauvoir
    De Navarre
    De Noailles
    Deleuze
    Destouches
    Devos
    Dovalle
    Duby
    Eluard
    Fargue
    Follain
    Gautier
    Gélis
    Giono
    Giraudoux
    Goll
    Grécourt
    Hugo
    Ionesco
    Jacob
    Jarry
    La Fontaine
    Laforgue
    Lamartine
    Lapointe
    Leduc
    Malet
    Malherbe
    Mallarmé
    Malraux
    Marinier
    Martin du Gard
    Michaux
    Michel
    Montaigne
    Moréas
    Neveu
    Pennac
    Péret
    Pieyre de Mandiargues
    Ponti
    Queneau
    Reine Margot
    Reverdy
    Rimbaud
    Rochefort
    Roy
    Saint-Exupéry
    Saint-John Perse
    Samain
    Sarraute
    Sartre
    Schwob
    Senghor
    Soupault
    Supervielle
    Thérèse de Lisieux
    Thiry
    Toulet
    Valade
    Vargas
    Verhaeren
    Verlaine
    Vian
    Vildrac
    Wittig
    Yourcenar

     

     

     

    *poLèmes précédemment parus sur http://pavupapri.hautetfort.com

    Le Bel Aujourd'hui en PoLésie (I & II) ©2007-2009 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK

     

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    et allez... pour les pointilleux, les références des textes cités sont compilées à l'index de ce mictionnaire poLétique

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  • MAJuscules ou mInusCules ?

    8c91be6d2db6ab3717171bee5a8e0804.jpgtsi hi...

    vous l'aurez peut-être remarqué, mais oui : je préfère les minuscules aux MAJUSCULES. la raison en est simple : l'humilité fait trop souvent défaut dans ce que les civilisations actuelles (occidentales, orientales) expriment. parler du fond du coeur, du cul et de l'esprit, ça m'est indispensable. je crois pourtant être UN VRAI BRANLEUR. mais ce verbiage tend à démontrer à quel point nos paroles sont futiles TANT QU'ELLES NE SONT PAS ENTENDUES POUR CE QU'ELLES SONT : crues et véritables, fantasmatiques et interprétables, niées ou acceptables!

    je surfe. je mate. j'écoute. j'observe.

    je pense qu'il manque au monde cette bénédiction des poètes, peintres, écrivains et mathématiciens : la distance.

    leur suprématie s'amenuise.

    et voici la bétise que la mort hypnotise prête à nier la vigueur de l'esprit, sa liberté, sa "destiny".

    motamomotabou est mort. vive pavupapri. que demeure vivace : le mien, le vôtre... l'esprit! dans la résistance comme dans l'oubli (de soi a fortiori!)

    [notez que quelques MAJuscules se trimballent deci delà... oh, on dirait qu'elles font des mots dans les mots? oh? oh?]

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