Il est au plus profond de l'ombre
de ces pâleurs mutines
je m'y effeuille la rétine
à tenter de t'apercevoir
dans ce brouillard
Alors, je recrée du printemps
la verdeur des collines
où je te rejoins, ma coquine
pleine dans ta robe à boutons
le cheveu long
Et je t'embrasse et je te mène
où l'orge abrite le garenne
et déjà nos doigts se promènent
hors de portée de nos regards
dans le brouillard
Comme en sa prime heure, j'entends
le doux chant de l'ondine
vibrer tout contre ma poitrine
quand se mêlent à l'unisson
nos deux passions
Car il est au plus fort du jour
une vive lumière
aux rayons perçant l'atmosphère
que réfléchissent nos amours
élémentaires
Commentaires
Elle en a de la chance... ;o)
(Soupir nostalgique... tout de même)
One perfect morning I was all alone
Listening to the blaze of summer
Drifting
I was falling
I was floating in a golden haze
Breathing in the sky blue sounds
Of memories of other days
And in my dreams I was a child
Flowers in my mouth and in my eyes
And I was floating through the colours of a sky
Up to the stars and angels
Up up up to heaven
Up up up forever
Up up up to heaven
Up up up forever
Turning in my climb
I looked down on a lake
And traced upon the water there
I saw your face
And sang in recollection
Of the times we shared...
Then pushed on ever upward
To the sky
Bon, ben je vais aller me rouler dans la paille, moi.
mais... mais... 'poune!
que fétu, là ?
Comme je disais chez notre chère tante May, bonne année mon Tiniak !! Continuez surtout