Vienne le soir
et de la voir,
la fleur sans tain à son balcon
et de n’en plus savoir le nom
ça me désole des histoires
Epistolaire
poignée de terre,
essaime des séjours perdus
les mots désormais inconnus
par manque de vocabulaire
Riants bonheurs
liant les cœurs,
vous courez toujours au-devant
de vos offrandes au levant
ivres de vous-mêmes, d’ardeurs…
Oh, c’en est trop
des braséros !
Viens, mon chien, battons le pavé
À d’autres, les chants d’Élisée
À nous, Pléthore et Caniveau !
tiniak - Ruades © 2010 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK