Puisque tu m'aisselles
ben, je t'encornets
là, tu me haut-talonnes
depuis tes sommets enneigés
ma langue en saillie presque oublier
ton bouton d'or
qui là-haut fort rée
Je te nomme et tu me verbalises
Bon ! que s'en électrisent nos renommées
Qu'invite et deux plantes
(si c'est pas le pied !)
tandis que je tétine
tes deux bourgeonnant frais ilets
genoux grenouillant sur l'oreiller
à toi, les "fore !!"
à moi, la "curée !!"
Chante, paronomase abreuvée d'asyndète
notre fête du Têt (sans agent orange)
You, me... Yummy !
Le verbiage interdit
jouons notre party
sur les a priori !
Voici que ton train-train réclame ses dimanches
J'entends bien... J'entends bien, et t'attrape l'an vert
(deux mille vingt-et-hein ?); ça fait vibrer ton anche
quand j'y plaque les maints besoins que j'ai d'en faire
Voilà, c'est tout complet, con ! Tout replets désirs...
On va pas se mentir : il fait bon, sur la berge
asseoir la jupe en serge au bel endroit pour jouir
et souffler, d'un soupir, de trop sades gamberges
tiniak ©2019 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
avec un clin d'œil appuyé vers Cattleya (qui se reconnaîtra)
Commentaires
C'est chaud par ici !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Voire au hashtag 'poésie lubrifiante' (dans la fenêtre de recherche, à droite à l'entrée) #hinhin :p
Mais je te suggère plutôt mon Abécédéros...
http://pavupapri.hautetfort.com/abecedaire/.
Le printemps t'inspire des mots coquins qui nous incitent à prolonger les siestes crapuleuses si douces !
Sinon.... Recommandé en mode "grossesse d'insitutrice", mon travail sur les auteurs : http://pavupapri.hautetfort.com/dicoletique/
T'en as pour... des lustres (ce qui nous ramène à.... mais pas queue !)
Subtil et chaud fourré de printemps :-)
Bien d'accord, Gino. Mais si tu cours - eh, comme tu cours toujours ! comment veux-tu, comment veux-tu que je t'échaufourre, eh ?