Les yeux cloués dans les mains
je vais et vient
l'heure d'en rire
puisqu'il n'en est rien à mot dire
taisons tout
Que dans le silence à genoux
soyons aussi pauvres que fous
sans vain espoir
ni peur, ni aucun songe noir
que cette ivresse
de ne plus aller à confesse
seul et sourd
quand tout l'air est vibrant d'amour
et pleure
la seule pluie qui vaille
du bonheur
tiniak - carnÂges © 2011 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
Commentaires
Magritte ?
Non, MA gritte :))