Ouvrant tout, je découvre mon règne
et réfute celui du khein
À son encontre khainô
me réapproprie le Chaos
J'en saigne
et reçois d'un ange le peigne
nacré de neuf
J'y reconnais le pur éclat d'un bris de l'Œuf
m'en songe et mords
aux nœuds dans les cheveux défaits des météores
tiniak © 2010 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK