voiler :
Un sommeil amène
la voile de nos yeux
qu’un regard en peine
empanne près du port
Il n’est de sirène
qui n’ait de triste sort
ni de capitaine
qui meure sous les cieux
Une ombre formelle
éponge l’océan
penniforme ombrelle
signe la fin des temps.
; tisser le masque désuet de la honte sur un secret objet de fierté ridicule, ce qui fait ostensiblement injure à la liberté de l’œil.
- Et quand j’y lance l’appât d’une seule parole / Tes yeux se rident se brisent de petits sourires / Et se voilent soudain de mes désirs [Ivan Goll].
[w]
________________________________________________________
retour au SOMMAIRE DE L'ABECEDAIRE
tiniak ©2009 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK