Me dressant pour l'amor des cons
je suis tout pour la mort des cons
les cons qui mordent et qui transpirent
l'avidité de vains satyres
je les pourfends, je les trucide
avec moi Diogène et Ovide!
les cons qui pleurent dans le noir
se croyant dépourvus d'espoir
je leur dédie mon sang, ma plume
prompt à tuer leurs amertumes
mais les petits cons du matin
pleins de douceurs et de parfums
ces petits cons, je leur dédie
ma vigueur, toute, jour et nuit
voyez comme il faut distinguer
des cons, des cons et des connets
car il n'est pas d'autre aventure
que l'amor des cons, fort et pur
tiniak le niak(oué)