Manger la vie, ça prend du temps
Manger du temps, ça prend la vie
Oh, Maxime !
à Ta Table
comme tout est si Véritable-
ment lumineux !
J'en ai les yeux tout embués
et m'en frissonne le carné
comme feuille d'érable
"...au vent mauvais"
Et ta chute, et ses couperets
me coupent, tout un, le soufflet
la gouaille;
et l'envie d'être un feu de paille
m'étreint
comme une chienne par les reins
Hémon ! Hémon !
ne lâche pas tes pantalons
Ta mère
dont le nom rime avec supplice
ne sais pas où porte ton vice
de forme;
et nous en montre un bon chapitre
pour la norme
un élégant faiseur de rimes
qu'il fait bon sortir, pour la frime
Je sais, c'est moche
mais tu n'es pas celui d'Antioche
et ne sais de la mouch'du coche
que le fouet !
Maxime l'un
Maxime l'autre
au masculin ? au féminin ?
tout un faits pour que je me vautre !
Bien...
Sinon, ça va, toi ?
Dis, finiras-tu pas ce foie
gras comme roche non
C'est, quand même, qu'avec ton nom...
Mais comme tu voudras
juste, s'il-te-plaît :
oublie-moi !
Que dis-tu, mon ange ?
Non, c'est pas du Madrange...