Pétrin modeste
liant ma non troppo
des harmonies d'orchestre aux riants oripeaux,
pour toi le dernier mot
sera, lent comme un geste entame un fandango
l'écoulement de l'eau qui leste
au flanc du pèlerin céleste
soprano largo crescendo
la souple gourde en vessie de veau
sous la veste à même la peau
la boucle fermant dans ton dos
le collier formé de mes os
couronnant de ces restes
que plus rien ne moleste
allant sinistre à dextre
la preste lettre O
tiniak © 2010 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK